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  • Photo du rédacteurStephane Fayol

Philippe Méga star des Gentlemen Q ?



Tous les jours je fais défiler, traduction « in » je scrolle, les fils Twitter, LinkedIn etc…guettant telle Sœur Anne si je ne vois rien venir qui attire mon œil assisté non par un système bionique mais par lunettes à quintuples foyers dits progressifs.


Et pour tout dire, pas grand-chose.


La fonction RH s’interroge sur le fait de s’interroger, poursuit avec une vigueur qui force le respect un cérémonial diplômant et médaillant sans surprises, bref tout va bien. A telle enseigne que de tout cela, je n’ai plus grand-chose à dire, qui n’ait déjà été dit.


Alors même que je sais la carlingue entreprise, comme celle du Beluga « sociétal » toujours malmenée par les turbulences et qu’il faut au quotidien, un trésor de dévouement et d’abnégation, cas par cas, situation par situation, aux engagés de la fonction RH un travail considérable pour faire en sorte que le chaos brutal ne survienne pas et que tout continue à avancer.


Avec des petites mesures, sans grande prétention, soutenues par peu de grandes théories, mais simples et pragmatiques, nécessaires en tous les cas. Pour que toute organisation fonctionne et que chacun se sente le mieux possible. Ceci explique sans doute pourquoi certains de mes auteurs préférés (MDR), type J.D.F (je ne mets que les initiales mais tous mes suiveurs auront compris) se taisent.

Difficile de généraliser à outrance. C’était déjà souvent incohérent et abusif avant, de mon point de vue, c’est aujourd’hui inconcevable.


Alors Les surprises viennent d’où on ne les attend pas, c’est souvent le cas.


Me voilà parti à feuilleter distraitement le magazine "GQ France" et à tomber par hasard entre deux pages de pub pour des vêtements improbables, sur un article intitulé « Alors, ce monde d’après ? » écrit par Vincent Cocquebert. Il y est bien sûr question de l’avant, pendant et après Covid, et de l’interprétation que l’on peut faire des observations réalisées. Outre le fait que cet article est assez ouvert et propice à la réflexion, j’ai le plaisir d’y lire mon ami Philippe Gabilliet Professeur en Psychologie, auteur et « conférencier professionnel, spécialiste de l’optimisme, de la chance, des changements bénéfiques et de la réussite heureuse » comme le dit son site que je vous invite à découvrir www.philippegabilliet.com si vous ne le connaissez pas déjà ; il n’est jamais trop tard et déçu vous ne serez pas, foi de Yoda.


J’ai retrouvé dans ses mots, mais mieux écrits et plus abouties (vive le talent) quelques unes des réflexions que j’avais pu faire dans des billets précédents et que vous retrouverez sur mon blog www.stephanefayol.com


Oui, le monde a changé avec cette pandémie. En est-elle la cause unique ? non probablement pas, mais un catalyseur accélérateur .

Les évolutions sociétales identifiées avant, comme celles portées par les vrais GJ, se poursuivent, avec cette fois ci, dans l’esprit un caractère plus inéluctable.

De quelle ampleur ? il faut se méfier : si rien ne sera plus comme avant, la résistance des vieux schémas n’est pas à ignorer, ( regardez s'il n'était qu'un exemple la métamorphose des spéculateurs) notre absence de préparation pour leur opposer de nouveaux schémas crédibles et solides non plus. Le rêve ne suffit pas.


Et à quelle vitesse ? une partie des mouvements de population observés sera-t-elle durable ? pas si sûr … et cela étant d’ailleurs pour partie lié à cela.


Et si on a vu tant de réactions différentes, c’est qu’on a commencé à porter un peu plus d’attention à la singularité sans en faire le mal du siècle ( genre individualisation forcenée) mais peut-être l’inouï diversité des réactions à un contexte, une décision : l’indifférence parce que finalement pas tant que cela, la peur parce que c’est l’horreur, le développement de pathologies, les réussites exacerbées et les effondrements, les opportunistes peu honnêtes et les altruistes forcenés, etc... tout a eu droit de cité et ça n’est surement pas fini.


C’est bien d’une dynamique de changements personnels que parle Philippe tout en relevant « on peut se demander si elle va être pérenne sur le long terme » tant la « vibrionnance » est réelle et la causalité de celle-ci sans « cases » ces fameuses cases dont j’ai tant parlé et qui font référence à un temps T, auquel nous ne sommes plus.


Philippe étant un "essentiel" de l’optimisme, je terminerai ce petit mot en regardant toutes les jolies lumières que nous avons vues clignoter pour souhaiter avec lui que de nombreuses étoiles soient allumées structurellement et durablement que nous travaillions d’arrache-pied à un avenir plus lumineux.


Auquel bien entendu, et intrinsèquement sans avoir besoin de se justifier et de théoriser à l’infini, les RH vont activement contribuer. Mais que je dise cela ne surprendra personne… Moi aussi j’ai des adhérences fortes avec des convictions peut être d’antan. Mais Allo :




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